• Et oui, j'ai succombé moi aussi à l'appel de ce petit cahier ; un journal intime un peu particulier, étant donné que l'on est guidé par des questions. Pas d'angoisse de la page blanche, pas besoin d'écrire des tartines... juste un petit coup d'oeil sur la journée qui s'achève, pouvoir la caractériser d'une simple phrase et on se surprend à chercher le petit détail qui a rendu cette journée différente des autres, petit détail ma foi sans grande importance mais qui donne tout le sel de ce jour. Vous l'aurez compris j'aime mon Simple Diary d'amour, je l'ai choisi en couleur citron vert, trop beau.

    Simple Diary

     

    Désolée pour le manque de lumière, je ferai ieux la prochaine fois ; n'empêche, remarquez le vernis à ongles assorti

    Je vous en parlerez dans un prochain article.

     

     

     

     


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  • La double mort de Linda

     

    Présentation de l'éditeur

    Etoile montante du thriller psychologique, saluée par Mary Higgins Clark elle-même, la romancière d'Un étranger dans la maison nous donne ici un livre d'un suspense et d'une cruauté rarement égalés.
    Tout commence un jour de fête des mères, dans la pai-sible petite ville du Massachusetts, où vivent Karen et Greg Newhall avec Jenny, leur fille adoptive. Pourquoi faut-il que ce jour-là surgisse Linda, la vraie mère, la mère maudite aussi, qui a abandonné Jenny à sa naissance ? S'imagine-t-elle qu'elle va récupérer son enfant ?
    Mais le malaise tourne au cauchemar lorsque, le lendemain matin, le cadavre de Linda est retrouvé dans une benne à ordures. Un cauchemar que le lecteur traverse, jusqu'à la dernière page, sans pouvoir s'arrêter.

     

    J'ai toujours un peu de mal avec les stars du polar, j'ai l'impression que passée la surprise du premier livre, de la découverte, l'écrivain a tendance a reproduire les ficelles qui ont fait son succès. Du coup, plus de surprise pour le lecteur, qui comprend trop vite où l'auteur veut en venir.

    Pour l'instant je n'ai pas eu ce problème avec Patricia MacDonald ; je me laisse prendre au jeu et surtout... je suis à chaque fois bluffée par le coupable ; j'adore être baladée de cette façon. Ici, pas de trucs grossiers, tout est finement amené, jusqu'à un dénouement, peut-être un peu trop théâtral, mais bien surprenant.

    Un bon moment de lecture ; petit bémol pour l'écriture parfois un peu maladroite et lourde ; alors faute à la traduction ?

     


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  • Blogoclub du 1er mars - Le roman épistolaire

     

    Présentation de l'éditeur

    Une veuve spirituelle et jolie, mais sans un sou, trouve refuge chez son beau-frère, un riche banquier. Est-elle dénuée de scrupules, prête à tout pour faire un beau mariage, ou juste une coquette qui veut s'amuser ? Le jeune Reginald risque de payer cher la réponse à cette question... Grande dame du roman anglais, Jane Austen trace le portrait très spirituel d'une aventurière, dans la lignée des personnages d'Orgueil et préjugé et de Raison et sentiments.

     

    Pour cette session du blogoclub, le roman épistolaire a donc été choisi et j'ai pu ainsi découvrir un court roman de Jane Austen et retrouver avec plaisir toute sa verve. Cet échange de lettres se lit avec plaisir et j'ai trouvé le caractère de l'héroïne aussi détestable que jubilatoire. Un véritable anachronisme à elle-seule, si loin des héroïnes romantiques et soumises de l'époque.

    Lady Susan est vénale, manipulatrice, intelligente et dénuée de tout scrupule ; tant de mauvaise foi circule dans ses mots que l'on en vient à se demander comment ses "proies" peuvent se laisser attraper sans être un minimum consentantes. Questionnement auquel elle répond de brillante façon :

    "Si je tire vanité de quelque chose, c’est bien de mon éloquence. La considération et l’estime accompagnent aussi inévitablement la maîtrise des mots que l’admiration la beauté."

    Eloquence et charme, voici des qualités dont lady Susan sait jouer à merveille, sans se soucier de quiconque, ni même de sa propre fille.


    Au final, une lecture agréable et rapide, une succesion de manipulations, tout le talent de Jane Austen.

    Blogoclub du 1er mars - Le roman épistolaire


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